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FAMMAG
23 mai 2007

Organisation de la guerre...

Dans son combat d'une lutte méciatico-mafieuse, Nicolas SARKOZY prend des décisions des plus audacieuses, mais aussi des plus dangereuses pour une démocratie chancelante.561cef88ee11a848f1347c68bffbc371_29_1

Dans un premier temps, sou l'inspiration directe de son directeur de campagne, Claude GUEANT, le président de la République française a décidé une nouvelle organisation des services de lutte anti-terroriste. Cela consiste à regroupper sous un même service les RG (Renseignements Généraux), la DST (Direction de Surveillance du Territoire), La PJ anti-terroriste et la SDAT (Sous-Direction de l'Anti-Terrorisme). Tous ces services seront regroupés dans un même immeuble à Levallois Perret, immeuble appartenant au groupe Euro-RSCG et précédemment loué à un groupe bancaire. D'où la sécurité déjà très présente: vitres blindées, contrôle d'accès hyper-sécurisé, etc... Cette nouvelle donne implique certaines choses, notamment la pratique d'échange de données entre les différents services, et ainsi la possible confusion entre contestataires (résistants à la politique oligarque du président de la république) et les terroristes.Le patron de ce service sera tout puissant... réellement tout puissant.

Dans un second temps, Laurent SOLLY, ancien directeur adjoint de la campagne de Nicolas SARKOZY jusqu'au soir de la victoire, à l'époque directement sous les ordres de Claude GUEANT, précédemment cité, vient d'être "golden parachuté" à la vice-présidence du groupe TF1. Ce sarkozyste convaincu, appliquant parfois plus que les méthodes de son maître et immitant certains de ses tic de langage, va désormais chapoter l'information et influencer sur les temps de paroles et les sujets du premier groupe de télévision européen.

A peine arrivé, SARKO Ier vient d'opérer en douce la mise en place de sa Gestapo et de son ministère de la propagande. C'est le National-scoialisme sans les camps.

Il nous promet une guerre, on lui promet une résistance implacable.

Je vous avais prévenu: pour voter bien, il vallait mieux ne rien voter.

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